le Sultanat d’Oman célèbre la cinquante et unième journée nationale de la Renaissance, et ses honorables fils sont armés de la volonté, de la détermination et de la fermeté pour préserver les acquis et les réalisations de la Renaissance bénie et renouvelée, avec fermeté et fidélité au Dirigeant de sa marche victorieuse, Sa Majesté le Sultan Haitham bin Tariq, qui a affirmé depuis la succession au trône le 11 janvier 2020 sa quête pour élever ce pays et l’amener à une vie meilleure.
L’appel de Sa Majesté au peuple de cette bonne terre à participer activement et à fournir « tout ce qui contribue à enrichir les efforts de développement, de progrès » est l’un des principes de la renaissance renouvelée d’Oman et de son époque heureuse pour atteindre le « grand objectif national « , parce que » Oman reste l’objectif suprême dans tout ce que nous faisons. » Tout ce que nous nous efforçons d’accomplir. » C’est ce qui est apparu sur le terrain en termes de modernisation de la législation, des lois, des mécanismes et des programmes de travail dans divers domaines.
2
Le début de cette année a vu la promulgation de la Loi fondamentale de l’État conformément au décret royal n° 6/2021, qui constitue la pierre angulaire de la poursuite des efforts et de la formulation d’un avenir meilleur pour Oman et les Omanais, et une base solide pour leur renaissance renouvelée. Elle renforce les droits, les devoirs et les libertés publiques » et établit un mécanisme stable pour la transmission de la gouvernance, qui aura un impact positif sur un certain nombre d’aspects tels que le politique et l’économique, en plus de l’accent mis sur le principe de l’État de droit et l’indépendance du pouvoir judiciaire comme fondement de la gouvernance de l’État et l’obligation d’éducation jusqu’à la fin de l’enseignement de base, et l’enracinement de la méthode scientifique dans la réflexion sur le développement des talents et l’encouragement de l’innovation qui est conforme à la vision 2040 d’Oman.
Les articles 5 à 11 de la loi fondamentale de l’État réglementaient le mécanisme de succession de l’autorité au Sultanat d’Oman de manière plus claire et plus fluide, l’article (5) stipulant que « le système de gouvernement est un sultan héréditaire dans la descendance mâle du Sultan Turki bin Said
3
bin Sultan, conformément aux dispositions suivantes :- l’autorité et le pouvoir passent du Sultan à son fils aîné, puis au fils aîné de ce fils, et donc une génération après génération. Si le fils ainé décédé avant de succéder au trône, la succession passe à son fils aîné. Si le fils aîné décédé n’a pas de fils, la tutelle passe à l’aîné de ses frères, et s’il n’a pas de frères, elle passe au fils aîné de son frère aîné, et si l’aîné de ses frères n’a pas de fils, alors aux fils aînés de ses autres frères, selon l’ordre d’âge des frères. Et si celui qui doit succéder au pouvoir et à l’autorité n’a pas ni fils ni frères, l’autorité du trône passe aux oncles et à leurs enfants sont dans l’ordre spécifié au point 2 de cet article. Il est stipulé que celui qui assume l’autorité et succéder au Sultan doit être musulman, sain d’esprit et fils légitime et de Parents musulmans omanais.
L’article (6) réglementait également « l’établissement d’un conseil de tutelle, si la tutelle est transférée à une personne âgée de moins de vingt et un ans, ce conseil exerce les pouvoirs du Sultan et que le Sultan l’a nommé avec une volonté sublime. » Si le Sultan n’avait pas nommé de conseil de tutelle avant sa mort, « le conseil de famille royale nomme un conseil de tutelle formé d’un des frères du sultan et de deux de ses cousins.
4
L’article (7) permet la nomination d’un prince héritier par arrêté royal conformément au texte de l’article (5) de la loi fondamentale de l’État. L’arrêté royal définit ses compétences et les missions qui lui sont confiées. Le Prince héritier, avant d’exercer ses pouvoirs ou les tâches qui lui sont confiées, prête le serment prévu à l’article 10 du régime devant le Sultan.
Le Sultanat d’Oman a fait valoir sa propre expérience dans le travail consultatif et démocratique. Sa construction s’est construite « sur des bases solides à partir de la réalité de la vie omanaise » et a traversé plusieurs étapes, atteignant le Conseil d’Oman avec ses deux chambres, l’État et le Conseil de la Choura. Il répond à l’intérêt de la nation et répond aux aspirations des citoyens. Il contient 78 articles réglementant le travail des Conseils d’État et de la Choura.
Le nouveau virus Corona, Covid 19, a créé des conséquences différentes dans tous les pays du monde, en particulier dans les aspects sociaux et économiques. Le Sultanat d’Oman, représenté par le Comité suprême chargé d’examiner le mécanisme de traitement des développements résultant de la propagation du virus Corona émergent, Covid 19, a oeuvré pour prendre des décisions « modérées » qui prennent en compte ces
5
deux aspects. Les mesures de précaution ont largement assuré la sécurité des citoyens et des résidents sur cette bonne terre, en plus de la coopération et de la réponse communautaire et la fourniture de vaccins anti-virus internationalement approuvés conformément à une campagne nationale de vaccination, qui s’est reflétée positivement dans la lutte contre la pandémie au niveau du Sultanat d’Oman, ce qui a été confirmé par Sa Majesté lors de sa présidence de la réunion du Conseil de Comité suprême le 18 août dernier au Palais Al Mamoura dans la Wilayat de Salalah : « Cette amélioration n’aurait pas été réalisée sans les décisions appropriées qui ont été prises et les efforts déployés par toutes les parties dans le Sultanat d’Oman, en particulier le secteur de la santé et le sens élevé des responsabilités dont font preuve tous les membres de la société à travers leur engagement envers ces décisions. Avec les contrôles mis en place par les autorités concernées qui servent collectivement à préserver la santé générale des individus et de la société omanaise ».
Ces décisions et les mesures prises ont conduit à une amélioration des indicateurs de la situation épidémiologique du virus Corona dans le Sultanat d’Oman, en termes d’une diminution significative des décès, des taux d’infection et des
6
malades, et du taux de guérison, qui a atteint 98,5%, soutenu par une campagne nationale de vaccination qui a inclus la plupart des classes de la société, y compris les citoyens et les résidents.
