Pour un homme d’État vraiment moderne,dans ce siècle,l’autorité ne suffit pas. Le ministre le plus habile et le plus fortement épaulé est condamné à l’impuissance,s’il n’a pas pour lui le concours de l’opinion publique. La méconnaissance de la portée de ces dires semble être la source de tous les problèmes entre syndicats estudiantin et décideurs politiques. Dans une période où l’unité nationale est recherchée,plus que jamais les acteurs du supérieur peinent à trancher du futures des universités dans le consensus. Ce dit problème marqué par la décision d’une reprise graduelle proposé par l’état pouvait être évité si jamais entre acteurs la discussion était de mise. Dans une période où la maladie ne cesse de faire ses lois retourner à l’université est peut-être risqué mais si jamais retour sera dans l’absence de discrimination ça doit se faire. C’est d’ailleurs dans ce sens que vont les étudiants lésés car proposés de faire des études en ligne:sans maîtrise des outils informatiques ni couverture réseau. Au regard de ces manquements et de la décision unilatérale des politiques les étudiants campe sur le retour de tous ou de personne. Actuellement que le seul issus est la discussion chacun des parties s’est crispée sur elle même. Dans le rêve du changement des situations les étudiants maintiennent tous la date du premier. Malheur à covid qui divise le solide et qui ôte les états de leurs avenir.