La ville de Kaolack n’a pas changé de visage,une nouvelle politique de développement doit être adoptée. A tonné
Amadou Diallo responsable du Mouvement And Takhawou Kaolack , ce samedi à Sahara kaolack
Après trois années d’existences sur la scène politique kaolackoise, le mouvement ATak Kaolack a tiré son bilan d’étape à travers une journée de réflexion organisée ce 03 Mars , chez le leader dudit mouvement en l’occurrence Amadou Diallo.
Face aux journalistes Amadou Diallo tire sur la gestion de kaolack et la manière dont les responsables politiques de la ville à mbossé coumba jigeen procèdent ainsi.
«rien n’a changé à kaolack,c’est pourquoi une nouvelle politique de développement s’impose.
La préoccupation de tous les politiques kaolackois doit être accèe sur le développement économique,social culturel entre autre car les kaolackois ne méritent pas la politique politicienne,cette démarche de beaucoup de politiciens, qui constitue un véritable handicap pour le développement de Kaolack .
La ville de mbossé Coumba rencontre d’énorme difficulté liée à un manque crucial d’assainissement, d’infrastructures routières, de l’emploi pour la jeunesse entre autre, en ce même moment, certains de la classe politique continue de leurrer la population,de leur transporter dans des cars lors de leurs meetings,en retour ils leurs remettent de maudite somme,ça doit être révolu, si nous voulons révolutionner kaolack dans sa globalité. A t dénoncé
Le leader de ATAK d’ajouter
«Je suis géomètre,avec mon entreprise,je suis à la disposition des autorités ,des kaolackois,bientôt l’hivernage arrive, pendant laquelle une bonne partie de la population est sous les eaux,désormais,avec ma logistique je suis à leur disposition pour leur servir».
Cette journée de réflexion a été une occasion pour le mouvement And Takhawou Kaolack de tirer leur bilan d’action,après 3ans d’existence sur la scène politique kaolack
«A travers notre fonds de solidarité,des millions ont été mobilisés pour le financement des femmes,nous avions investi beaucoup d’argent aussi dans le social, surtout pendant les inondations de 2019 et 2020.