Le centre a expliqué que certaines de ces lois privent les musulmans de recevoir une éducation religieuse appropriée, les placent sous surveillance permanente, en particulier lors de la pratique de leurs rituels, et obligent les femmes musulmanes à adopter un certain style de vie qu’elles peuvent juger contraire à leurs croyances. De plus, ces lois persistent à faire fi de la loi islamique, même dans les questions de statut personnel des musulmans.
Le centre a appelé les législateurs à s’abstenir d’adopter ou de mettre en œuvre le point de vue unilatéral dans l’évaluation des questions, et à se rappeler que l’extrémisme en Europe ne se limite pas à certains adeptes de l’islam, mais est adopté par de nombreuses personnes qui ne trouvent aucune loi appropriée pour les dissuader, en particulier les groupes d’extrême droite. Le centre a averti que toute loi ciblant les musulmans à l’avenir deviendrait un prétexte pour répandre la haine et le racisme.